Désormais, le point commun entre les patrons et l'extrême droite est la volonté - accrue par la capacité - de détruire totalement les sociétés humaines dans un but d'enrichissiment personnel. Tout ce qui fait le lien dans notre société ( française, par exemple ) est abimé par une urgence factice, fictive, générée par les nouveaux dogmes de l'industrie au service du patron, qui méprise les civilités, le civisme, l'éducation élémentaire, rendant la société rapidement inhabitable par le corps et la pensée dans la rue et dans les lieux publics, généralement. Les machines et le tout-numérique autorisent les patrons, exclusivement, à détruire ce qui existe pour faire vivre; à tuer tout le monde sans être inquiétés car l'illettrisme est devenue la nouvelle norme, suivie par l'esclavage mental, dans les règles masculines de la pègre institutionnelle. Dans la vie privée des gens, l'entreprise meurtrière des patrons et de leurs industries virtuelles élimine peu à peu, rapidement à une échelle civilisationnelle, les fondements même d'une société citoyenne telles que l'Histoire, la littérature par lesquelles l'individu et l'enseignement existent jusqu'à ce jour. Avec Internet, qui pourrait oeuvrer en faveur d'un épanouissement global des démocraties en libérant la parole étouffée par les dictatures des religions au pouvoir ( à la place de l'Etat ), le monde infantilisé assiste incapable à l'affirmation des puissances meurtrières et la fermeture du language, des choix, de son avenir de penser, partout et sans broncher; comme une grappe d'esclaves menée au pressoir.